Je suis allé boire un café avec Sabina. J'ai beaucoup pleuré et tremblé. Énorme fatigue. Ce qu'elle m'a dit m'a plus fait de mal que de bien. Elle m'a reparlé de Cindy, de sa mort. Elle a fait allusion à Loraine. Je ne peux pas parlé d'elle. La souffrance est trop grande. Nous avons convenu que nous nous retrouverions chez elle pour un repas jeudi soir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire