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mercredi 23 septembre 2015
Rendez-vous avec ma diététicienne
J'ai vu ce matin ma diététicienne. J'ai le même poids que lors de mon rendez-vous avec mon médecin. Je la revois en novembre.
mardi 22 septembre 2015
Roméo et juliette
Je viens de voir au cinéma Les Scala la retransmission en direct du ballet 'Roméo et juliette' sur une musique de Sergueï Prokofiev, une chorégraphie de Kenneth Macmillan. La musique était dirigée par le chef d'orchestre Koen Kessels. C'était superbe. Les danseurs et les danseuses étaient d'une beauté et d'une grâce enchanteresses. C'était un moment de réel bonheur.
Cet après-midi
Je suis allé à quatorze heures au CAPPI pour mon rendez-vous avec mon infirmier. Nous nous sommes parlé une quinzaine de minute. Nous avons convenu de nous revoir mercredi de la semaine prochaine. Je suis allé ensuite retirer de l'argent, avant de me rendre au café-contact à la paroisse des Eaux-Vives. Après cela, j'ai fait quelques courses avant de rentrer chez moi. Au moment d'arriver au bas de mon immeuble, j'ai vu mon père entrer. Nous nous sommes retrouver devant les ascenseurs. Il m'a remis les draps. Je l'ai remercié. Nous avons parlé des chandeliers(dans mon précédent article, j'avais parlé par erreur de lampes). Je lui ai dit que si je retrouvais les clés de la caves, j'irais voir si ils s'y trouvent. Je lui ai aussi dit qu'il me semblait qu'il m'en avais déjà parlé quand Cindy et moi vivions à la rue Blanvalet et que noue ne les avions pas trouvé. Il m'a répondu que d'après son souvenir, il nous les avait offert quand nous vivions déjà à l'adresse ou je réside maintenant. Je lui ai dit que je chercherai les clés de la cave, et je regarderai pour ces chandeliers. après l'avoir encore remercier pour les draps, nous nous sommes quitté.
Un appel de mon père
J'ai reçu un appel de mon père. Il veut venir chez moi m'amener des draps de lit et voir dans ma cave si il y a des lampes qu'il avait offert à Cindy et à moi il y a de cela plusieurs années. Il voulait d'abord venir à trois heures. je lui ai dit que je ne pouvais pas. Il m'a demandé ou je serai à cet heure là. Je lui ai répondu que je serai à la paroisse des Eaux-Vives. Il m'a demandé si il pouvait venir à deux heures. Je lui ai dit que je ne pouvais pas non plus être là, que je serai à la rue du xxi décembre. Il m'a demandé quand je serai chez moi. Je lui ai dit que je pourrai être chez moi à partir de cinq heures. Il voulait savoir si j'avais retrouvé ces lampes qu'il voulait. Je lui ai dit que non. Je lui ai aussi dit que je ne savais pas ou était la clé qui donnait accès à la cave. Il m'a dit que chercherons ensemble cette clé. Je prends très mal qu'il me demande ou je serai cet après-midi et qu'il voulait que nous cherchions ensemble pour les clés de la cave. Je prends ca vraiment comme un viol de mon intimité.
Ce matin
Je suis allé ce matin au groupe-accueil du CAPPI. Nous sommes allés boire un café dans un bistrot. Après cela, je suis allé voir ma physiothérapeute pour une séance de drainage lymphatique. J'ai ensuite pris un repas chez un traiteur thaï avant de rentrer chez moi.
lundi 21 septembre 2015
Rendez-vous avec mon art-thérapeute
J'ai vu cet après-midi mon art-thérapeute. J'étais assez fatigué. Nous nous sommes quand même parlé pendant une heure et quart.
Poème pour Loraine
Je n’ai rien à offrir et rien à demander.
Je viens seulement, pour te regarder.
Te regarder, pleurer de bonheur, savoir cela
Que je suis là et que tu es là.
Rien que pour un moment pendant que tout s’arrête.
Être avec toi, Loraine, en ce lieu où tu es.
Ne rien dire, regarder ton visage,
Laisser le cœur chanter dans son propre langage,
Ne rien dire, mais seulement chanter parce qu’on a le cœur trop plein,
Comme le merle qui suit son idée en ces espèces de couplets soudains.
Parce que tu es belle,
La femme dans la Grâce enfin restituée,
Parce que tu es la femme, l’Eden de l’ancienne tendresse oubliée,
Dont le regard trouve le cœur tout à coup et fait jaillir les larmes accumulées,
Parce que tu m'as sauvé, pour toi fut cette chose à laquelle on pense,
Parce qu’à l’heure où tout craquait, c’est alors que tu es intervenue,
Parce que nous sommes en ce jour d’aujourd’hui,
Parce que tu es là pour toujours, simplement parce que tu es Loraine, simplement parce que tu existes,
Sois remerciée !"
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